Les valeurs de l'olympisme dans tous les domaines mises à l'honneur par le Sommet Européen annuel à Paris au Palais Brongniart cette année

Avec seulement 29 % des femmes dans l’IA portée par environ 700 entreprises françaises et plusieurs laboratoires dont INRIA seule embauche plus de 2000 personnes sur ces sujets de recherche et innovation, la France se fait admirablement représenté par ses success stories comme Mistral AI ou H et par sa Ministre du Numérique Clara Chappaz qui encourage un véritable changement d’état d’esprit visant la confiance dans le futur d’une Europe forte de l’innovation IA face à la concurrence des États Unis et de Chine. 

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A seulement quelques semaines du Rapport Draghi et avec un Commissaire Européen francais visionnaire Sebastien Séjourné qui vient de proposer à l’Europe une “Boussole pour la Compétitivité européenne”, les leviers d’une évolution souhaitable pour simplifier et agiliser les processus d’aide à l’innovation y compris IA semblent bien en place pour que la France puisse inspirer un véritable Wake Up Call Européen lors de l’IA Summit à Paris le 10 et 11 février. Cela pourrait inclure aussi des solutions plus efficaces et pertinentes d’investissement et l’aide publique pour l’IA car les discussions sur une unification du marche de capital risque européen et un cadre commun européen d’encouragement d’investissement en Europe sont d’actualité. 

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La question reprise par la presse de savoir qui pourrait incarner le Champion européen de l’IA face à la compétition américaine et chinoise trouve des réponse dans une ambition d’évolution de l’état d’esprit apportée notamment par Paris AI Summit qui va mettre en lumière les raisons pour garder espoir dans la vision européenne pour le futur de l’IA et reconnaitre les succès francais et européens.

Sachant que la souveraineté numerique n’un pays se construit aussi sur des investissements publiques dans des deeptech en TRL3 et non pas en TRL 6 comme imposé actuellement par les critères de la BPI France ou des fonds d’investissements qui demandent de “tractations”, de commercialisation avant d’investir dans l’innovation en France, ce qui incite les start-up à vendre vite tout et n’importe quoi juste pour avoir accès à des subventions et à des investissements. 

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La France promet de présenter de nouvelles stratégies d’accélération de l’innovation avec une “Troisième Voie” annoncée déjà par le Premier Ministre François Bayrou dans son déjà célébré discours de politique générale.