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La France, le premier pays à ÉRADIQUER LA PAUVRETÉ ET LE CHÔMAGE ?

 

Éditorial qui analyse un scénario grâce à une possible innovation disruptive sociale et sociétale : le REVENU UNIVERSEL CITOYEN RESPONSABLE

Editorial 

Photo: Isidore Isou                                                                                                                               by Ingrid Vaileanu 

Si un pays avait la possibilité d’éradiquer la pauvreté et le chômage une fois pour toutes grâce à une innovation sociale et sociétale et grâce à une décision politique, est-ce qu’on aurait collectivement le courage de telles innovations disruptives au service de tels buts humanitaires ? 

 

En effet, la crise sanitaire Covid19 et les incertitudes sur les crises multiformes économiques, de confiance - pourrait rendre indispensables des innovations disruptives sociales et sociétales pour mieux répondre aux attentes des citoyens et des entreprises au 21e siècle. 

 

On ne peut plus accepter que, d'une part, la pauvreté et le chômage grandissent, tandis que d’autre part, les entreprises n'arrivent pas à trouver des employés et ne soient pas libres à licencier si besoin pour répondre aux aléas de la vie économique et chercher plus de compétitivité avec des structures et processus agiles pour faire face à la concurrence internationale. 

« On en est revenu au vieux système chaotique ou ceux dont le travail était en demande devraient faire de longues journées tandis qu’on abandonnait le reste au chômage et à la faim » écrivait Bertrand Russell en 1932. 

 

Si Russel conclut l’importance de réduire à 4 heures par jour le travail et éduquer « les gouts qui puissent permettre à l’individu d’occuper ses loisirs intelligemment » met en garde sur le danger « du fait de croire que le travail est une vertu est la cause des grands maux dans le monde moderne, et que la voie du bonheur et de la prospérité passe par une diminution méthodique du travail. 

 

« De façon générale, on estime que gagner de l’argent, c’est bien, mais que le dépenser, c’est mal. Quelle absurdité, si l’on songe qu’il y a toujours deux parties dans une transaction : autant soutenir que les clés, c’est bien, mais les trous de serrure, non. Si la production à quelque mérite, celui-ci ne saurait résider que dans l’avantage qu’il peut y avoir à les consommer. Dans notre société, l’individu travaille pour le profit, mais la finalité sociale de son travail réside dans la consommation de ce qu’il produit. C’est ce divorce entre les fins individuelles et les fins sociales de la production qui empêche les gens de penser clairement dans un monde ou pensons trop à la production qui empêche les gens de penser clairement dans un monde où c’est le profit qui motive l’industrie. Nous pensons trop à la production pas assez à la consommation. De ce fait, nous attachons trop peu d’importance au plaisir et au bonheur simple, et nous ne jugeons pas la production en fonction du plaisir qu’elle procure au consommateur » ajoutait Russel en 1932 dans son livre « Éloge de l’oisiveté ». 

 

L’essentiel de la littérature sur le nouveau modèle économique – « Économie de la Fonctionnalité » concernant ce passage d’une économie basée sur la valeur résidant seulement dans la production et la consommation de masse des biens et services à forte empreinte écologie d’habitude ou le « producteur est perçu comme créateur de valeur et le consommateur comme destructeur de valeur » (Mont. 2002) vers une économie dont la valeur coproduite avec le client réside dans la capacité de « vendre la fonction d’usage (d’un bien ou – et service) plutôt que la propriété du bien lui-même » (Bourg et Buclet, Van Niel,  2005, du Tertre, 2005, Rifkin, 2000) ou encore dans la capacité de répondre à une « demande de performance » (Du Tertre, 2009, Stahel, 2006, Vaileanu, 2009) à travers  fonctionnalités multisectorielles proposant des solutions coproduites intégrant des biens et des services (au sens de « Product Service System » - PPS (Mont, 2006) relevant de nouvelles « configurations productives ».

 

L’économie circulaire n’est qu’un changement à la marge du modèle de l’écologie industrielle qui fait que les déchets des uns devient des ressources pour d’autres secteurs ou entreprises ce qui à l’échelle de la croissance ne fait qu’encourager la production des déchets car maintenant des emplois et d’autres secteurs en dépendent. Donc économie circulaire ce n’est pas un nouveau modèle vertueux à long terme et à grande échelle (au contraire peut devenir une barrière aux véritables changements car on « a besoin des déchets  pour nourrir les nouveaux entreprises qui en dépendent »). 

 

La conjoncture actuelle offre une occasion historique pour la France, l'Europe aussi et pour la société du 21e siècle de se renouveler et prévenir les crises écologique, sociales dans un contexte des crises multiformes  (sanitaire, écologique, économique, de confiance, etc.) 

 

Ainsi l'État peut faire confiance à ses citoyens et leur accorder à tous (à partir de 18 ans) un Revenu Universel Citoyen et Responsable (1000 euros mais en TICKETS DE CONSOMMATION LOCALE, des produits bio locaux). Cela peut avoir immédiatement impacts positifs interconnectés pour les citoyens et les entreprises : 

 

- Mettre fin à la PAUVRETÉ (un revenu permanent de 1000 europar mois cumulable avec d'autres revenus et travail) pour la première fois dans l'histoire d'un pays assurant un revenu universel individuel (conditionné bien sur par une ACTIVITÉ officielle VOLONTAIRE ou REMUNERE (d'au moins 4 heures par jour)- travail d'utilité publique à son choix par chacun et en répondant à des BESOINS DIVERS des entreprises, des personnes et des services publiques). 

 

- Mettre fin à l'AGRESSIVITÉ dans les quartiers, dans les familles, car chaque adulte se réveille chaque jour en sachant qu'il a déjà comment payer le loyer et de quoi manger... La VRAIE ÉGALITÉ sera qu'on puisse offrir à chacun la même sérénité d'avoir les premiers besoins vitaux assurés (la base dans la Pyramide de Maslow) grâce au statut de CITOYEN d’UN ETAT VISIONNAIRE auquel on va faire tout le nécessaire de remercier et d’en être utile. 

 

- Mettre fin à la LUTTE DE CLASSE et encourager le travail d'UTILITÉ PUBLIQUE par tous, dans tous les secteurs et à leurs convenance (non pas conditionnés par le parcours éducatif, familial ou lieu d'habitation ou parcours de carrière.) Chacun peut changer et travailler comme on veut (un avocat peut travailler un temps comme jardinier ...) sans être pénalisé par les cotisations à la retraite (qui sera pour tous d'au moins 1000 euros... si l'on veut travailler plus, on peut augmenter la pension...) ...

 

- Créer un vrai LIEN POSITIF DIRECT et confiance dans le POLITIQUE qui prend des risques pour expérimenter ces innovations pour améliorer la vie de chacun.

 

- Offrir la LIBERTÉ aux ENTREPRENEURS pour embaucher ou licencier en fonction des besoins réelles et non pas contraints par des effets de contraintes du système actuels ou les ressources humaines sont obligés de recruter par "diplômes" et non pas par "compétences divers et utilité publiques adaptée à l'évolution rapide des économies" car on ne peut pas prendre de risque car on ne peut pas licencier facilement si la situation l’impose. Le Revenu Universel Citoyen va permettre de faire le BIEN pour le citoyen et pour l'Entrepreneur à la fois.

 

- Offrir la possibilité de faire la RÉFORME des RETRAITES pour plus d'ÉQUITÉ et JUSTICE car les citoyens seront ainsi rassurés de leurs moyens minimums d'existence sans succomber à la Pauvreté ou à la fatalité du Chômage. Sachant tous qu’on revenu de 1000 euros sera assuré pour tous (à la retraite on sera plus obligé de travailler bien sûr mais les 1000 euros seront toujours offert en Tickets de consommation locale pour soutenir l’offre des entreprises en France.) 

 

- Renforcer la Consommation locale et l'économie française de manière indirecte mais durable car le Revenu Universel Citoyen sera versé automatiquement en "TICKETS Citoyen Responsable" - pour consommation interne (se loger, se nourrir, se déplacer) 

 

- SOUTENIR des politiques autant de gauche (revenu universel citoyen) et de droite (promouvoir l’offre des entreprises en France et libérer le marché du travail, pouvoir licencier et embaucher plus facilement) avec des INNOVATIONS DISRUPTIVE UTILES IMMÉDIAT et DIRECTEMENT pour CHAQUE CITOYEN... (encouragent des politiques et des corps intermédiaires à évoluer aussi dans l'intérêt du CITOYEN et non pas des idéologies anciennes)

 

- Seul ce contexte d'EXCEPTION actuel (crises sanitaire et économique) peut permettre une telle ÉVOLUTION CITOYENNE qui tout d'abord est une RÉPONSE IMMÉDIATE, EFFICACE pour résoudre le problème de PAUVRETÉ, de BLOCAGE SOCIALE et ÉCONOMIQUE (économie locale) mais aussi de long terme, en changeant les mentalités pour encourager le TRAVAIL D'UTILITÉ PUBLIQUE et la CONSOMMATION RESPONSABLE (car chacun va avoir les MOYENS de devenir un Consommateur Responsable et prendre le plaisir de soutenir les entreprises françaises bio, responsables). Ce serait mieux qu'un PRÉSIDENT ET ÉQUIPE RESPONSABLE puissent faire cette évolution positive de manière contrôlée et en collaboration avec l'Europe, d'autre états européens. 

 

L'Europe sera ainsi le premier Territoire dans le monde ou on va ÉRADIQUER LA PAUVRETÉ POUR LA PREMIÈRE FOIS et pour durer, on va AGIR pour l'ÉGALITÉ des droits et des chances (sans bloquer l'évolution des citoyens qui veulent travailler plus mais en assurant le MINIMUM pour tous) et pour la LIBERTÉ des TRAVAILLEURS mais aussi des ENTREPRENEURS pour être des acteurs utiles, libres et résilients face à des futures crises potentielles. 

 

Isidore Isou (avec les lettristes qui « ne créent pas de scandales : ils brisent la conspiration du silence )  et les Situationnistes dont Guy Débord ont bien anticipé l’importance d’une innovation disruptive sociétale et sociale grâce à une nouvelle intégration du travail et du loisir dans la vie de chacun. 

 

En ‘Le travail du négatif », Anselme Jappe (2011) explique la vision de Guy Débord et des situationnistes sur « l’invitation « ne travaillez jamais » dérive de la tradition « bohème » qui, après quelques antécédents chez les romantiques, commence à caractériser dans la deuxième moitié du XIXe siècle les milieux artistiques, autant que les « voyous » si chers à Débord. Tandis que toute la science, la pensée officielle, la religion, mais également les mouvements anti-capitalistes5 encensaient le travail et les travailleurs comme source de toute richesse, mais également de toute morale, il n’y avait que les marges du monde de la littérature et des arts pour exprimer un refus de sacrifier sa vie au travail et au dynamisme forcené de la société moderne. Cela s’exprima autant dans le dandysme de Baudelaire que dans le vers « Jamais nous ne travaillerons, ô flots de feu ! » de Rimbaud, ou dans la dédaigneuse référence à l’homme qui confie dans ses efforts « car il a consenti à travailler » au début du Manifeste du surréalisme, jusqu’aux éloges de la paresse publiés en 1921 par le dadaïste Clément Pansaers et par Malevitch. Mais ce refus gardait un aspect fortement individuel et exprimait le désir, ou le projet, de se dérober personnellement à la tyrannie du travail. Une société sans travail semblait difficile à imaginer.

 

Les situationnistes avaient dépassé les avant-gardes artistiques précédentes et évoluaient vers un mouvement révolutionnaire justement dans la mesure qu’ils voulaient lier un effort personnel de libération avec une action collective, visant la société toute entière. Leur critique du travail avait donc partie liée avec la vision d’une société toute autre. En effet, dans le numéro 12 de leur revue, sorti en 1969 et largement consacré aux événements de mai ’68, la photo d’un mur parisien portant le slogan « Ne travaillez jamais » était ainsi commentée : « Un slogan de mai. – Cette inscription, tracée sur un mur du boulevard de Port-Royal, reproduit exactement celle dont le n° 8 de cette revue (p. 42) avait publié la photographie. Elle gagne certainement en force à accompagner, cette fois, une grève sauvage étendue à tout le pays ». Avoir transformé le désir d’un individu dans un mouvement de masse, telle était pour les situationnistes leur plus belle réussite.

 

Pour Débord, sortir de la société du spectacle signifiait également sortir de la société du travail. Mais comment satisfaire les besoins humains sans travailler ? Dans le bref « aperçu chronologique » déjà mentionné, on lit : « 1963 : Cinq ‘directives’ tracées sur des toiles ». Une de ces directives, qui énonçaient la quintessence de l’agitation situationniste pour les années successives, proclamait : « Abolition du travail aliéné ». Donc, ce n’est pas l’effort en tant que tel qui était à bannir pour les situationnistes, mais le travail que Marx avait appelé « aliéné » : l’activité dont le produit est séparé de son producteur, qui ne reçoit que son salaire. Débord utilise ces catégories également pour qualifier sa propre attitude : « D’où peut-on conclure que je ne travaille pas ? J’ai dirigé douze ans une revue, écrit un livre et nombre d’opuscules, brochures et tracts, tourné et monté six films. En grande partie, le travail du négatif en Europe, pendant toute une génération, a été mené par moi. Je me suis contenté de refuser seulement le travail salarié, une carrière dans l’État, ou le moindre subside de l’État sous quelque forme que ce soit […] Je ne crois pas que l’on puisse dire que je me suis continuellement amusé » écrivit-il en 19856. Le « travail du négatif » : pour Débord, son « travail » consistait essentiellement dans ses activités révolutionnaires, et pour les qualifier il se réfère à la définition hégélienne du côté négateur de l’esprit, celui qui fait avancer la marche de l’histoire…

 

Et encore plus tard, il renchérit : « Ne jamais travailler demande de grands talents. Il est heureux que je les aie eus […] Le refus du ‘travail’ a pu être incompris et blâmé chez moi. Je n’avais certes pas prétendu embellir cette attitude par quelque justification éthique. Je voulais simplement faire ce que j’aimais le mieux »7. Débord lui-même, dépourvu d’une fortune personnelle, a pu se dérober au travail surtout grâce à une pratique constante du potlatch, donc de la générosité vers d’autres qui parfois la lui ont rendue grandement. Mais qu’est-ce que le refus du travail au niveau social ? Comment alors abolir le travail aliéné ? D’un côté, les situationnistes plaçaient, au début de leur parcours, beaucoup d’espoir dans l’automation de la production9. Celle-ci aurait pu, selon eux, libérer l’humanité du joug du travail pour la faire rentrer dans une société basée sur le jeu et les « loisirs », qui était cependant empêchée par les « rapports de production » capitalistes (et finalement spectaculaires) qui perpétuent la domination des propriétaires des moyens de production sur les travailleurs. Ils n’étaient pas les seuls dans les années 1950 à nourrir cette illusion sur une possible émancipation à travers les machines : en témoignent, parmi beaucoup d’autres, les écrits de l’ex-surréaliste, ex-trotskiste et sociologue Pierre Naville portant sur l’automation et le passage « de l’aliénation à la jouissance ». Si l’on ne tient pas compte de cet enthousiasme pour la possibilité de « détourner » l’industrialisation, on ne saurait pas comprendre le projet situationniste initial : ni son côté technophile, avec la « peinture industrielle » de Pinot Gallizio et la ville de « New Babylon » conçue par Constant, ni en général la volonté de réaliser pleinement les possibilités libératrices créées par le développement des forces productives dans l’après-guerre et leur application à la vie quotidienne, toujours déviées vers la continuation de la société de classe. Après 1970, Débord a souligné, au contraire, les dangers que le développement non maîtrisé des forces productives faisait courir à la « planète malade », et donc à tout projet d’émancipation. »

 

En effet, les consommateurs et les scientifiques ont observé que les entreprises « éthiques, écologiques, et responsables » sont-elles-mêmes responsables de mettre des barrières injustes et inacceptables – les prix élèves et l’accès presque exclusif à travers des réseaux d’intérêt et connivence (pas d’appels d’offres, ou marché ouvert) à l’accès aux ressources (bio, comme le lin, de recyclage, etc.). La gravité de ces pratiques similaires avec celles des entreprises fordiennes dont on elles dénoncent les pratiques « non-responsable » et « non – étiques », de ces nouvelles marques et entreprises ne font que copier les entreprises qu’elles critiquent en utilisant les valeurs nobles comme l’éthique, la responsabilité, l’écologie juste pour ventre à des prix élevés et  faire encore plus de marges en s’adressant juste à des consommateurs riches tout en culpabilisant les consommateurs pauvres avec des phrases « politiquement correctes » et qui semblent « pardonner » les consommateurs de ne pas payer plus pour leurs produits : « on dit aux consommateurs moins riches qu'on les comprend.. qu’ils doivent prendre leur temps et faire le pas vers l'écologie quand ils peuvent » déclare une vendeuse dans les boutiques design, « éthique » et « responsable »… 

 

A se poser la question « responsable » comment ? pour qui ? … Ces attitudes des nouveaux riches, des profiteurs sans éthiques des valeurs étiques détruisent du discours et des ressources limités pour être éthiques, locales, responsables. Sont plutôt la plus grade barrière pour développer un véritable modèle économique vraiment éthique, écologique et responsable, ouvert et accessible à tous, englobant  surtout les moins riches, et non pas seulement aux consommateurs riches… 

En effet, l’économie de la fonctionnalité permet d’envisager un nouveau Paradigme de croissance – une vision renversée de l’accès à la qualité pour tous (Vaileanu, Wided, https://www.amazon.fr/Rethinking-luxury-business-Various-Authors/dp/2343194181) : plus il y a de la qualité éthique, responsable, locale, moins sera le Prix, car cela va attirer un plus grand nombre des clients (utilisateurs) pour donner l’accès à tous non pas à la propriété mais à l'usage partagé. Il va surtout intégré dans le Prix des produits Non-étiques, Non-responsables, Non-local les couts des impacts écologie, sociaux, ce qui va les  rendre plus chers. 

 

Seul un nouveau paradigme, juste, permetra la démocratisation de l’accès à la qualité (éthique, responsable, locale) en développant la temporalité de transaction de la valeur, en intégrant le cycle de financement et de recyclage d’une produit pour offrir la possibilité à tous, aux moins riches surtout de consommer-utiliser des produits éthiques, responsable, locaux… à des prix plus bas tout en intégrant des alternatives divers de la vente de la propriété du produit à la vente de l’usage et des fonctionnalités personnalisés du produits. L’objectif n’est pas de soutenir quelques entreprises privilégies qui s’adressent aux riches vues leurs prix et culpabilisent par leurs discours les autres consommateurs en les dégoutant de ces belles valeurs éthiques, responsables, locales… mais d’accompagner toutes les entreprises de devenir éthiques, responsables et locales visant des solutions de qualité pour tous. 

 

Et si le premier pays au monde qui va enfin éradiquer la pauvreté et le chômage grâce à ces innovations disruptives c’est votre pays ?... Êtes-vous prêts à soutenir le succès d’un nouveau modèle économique et sociale sans pauvres, ni chômeurs, avec seulement 4 heures de travail libre et utile chaque jour, pour chaque citoyen et surtout du temps pour des loisirs, se former, lire, et consommer l’argent non pas sur Amazon mais localement pour soutenir ainsi collectivement les entreprises locales ? 

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